[TOKYO FEVER] Jour 2, groupe 2, Odaiba.

ODAIBA NOUS VOILA !
(vous avez dit beauf ?)
KIM BAE + LEE JIN-KYUNG
KWON HANAE + ENDO SHUN
TAKAHASHI JI HYUN + LEZIO SORA
LIU SUN HEE + MORI HAKU

Les joues rougies sous le coup de l'excitation et du froid, vous vous décidez enfin à arrêter de faire mumuse dans les manèges non sans avoir fait un dernier petit selfie devant la réplique de la statue de la liberté. Après tout, dix-huit heures viennent de sonner et il est grand temps de bouger si vous voulez aller faire un tour dans les salles d'arcades et au SPA. Il est temps d'enfiler votre yukata et d'aller vous détendre un peu.

ODAIBA NOUS VOILA !
(vous avez dit beauf ?)

Ils sont en groupe. Hanae n'aime pas forcément les groupes. Surtout quand il ne connaît pas tous les membres de ce dit groupe. Heureusement il y a Bae. Ils fument en restant à l'arrière. La clope résout tous les problèmes.  Aujourd'hui ils vont au spa. Hanae se dit que c'est un truc pour les nanas et justement il est venu juste pour mater tranquille. Il a déjà repéré quelques femelles pas si mal formées. Il en fera peut-être son repas. Il était  affublé d'un compagnon de voyage, ensemble ils formaient un duo. Il ne  connaissait pas ce mec. Il n'en avait pas envie. Il voulait rester avec Bae mais il devait tout faire avec cet inconnu. Tant pis. Enfin ils arrivent dans ce fameux spa. Hanae décida d'aller directement au sauna après l'accord de son binôme. Parce que c'était obligé sinon il n'aurait rien demandé à personne. Il était déjà un peu énervé de devoir se le supporter alors il avait intérêt à être sympa. Il n'était pas chiant Hanae, tant qu'on ne le faisait pas chier. Et puis il voulait passer un bon moment. Ils se changent, serviette autour de la taille pour les hommes et autour de la poitrine pour les femmes. Les pièces sont  mixtes. Il peut montrer son corps musclé et il ne se gène pas pour regarder le corps des femmes, après tout pourquoi se priver? Elles aiment ça qu'on les regarde. Peut être que les autres gars seront timides pour parler librement mais pas Hanae. Il s'installe confortablement Hanae avant de parler à son binôme. Bon mec c'est qui la dernière nana que tu as serré ? Enfin ça peut être un mec aussi.

ODAIBA NOUS VOILA !
(vous avez dit beauf ?)

Toute la journée, il a fait beau, t'en a profité, vous vous êtes amusé, mine de rien, tu dois le reconnaître. Mais tu sens que plus la journée se termine, et plus la fatigue te rattrape. T'as fait fort hier soir, t'as bu plus que d'habitude, et cette petite virée nocturne dans les couloirs de l'hôtel ne t'a pas permis de dormir très tôt. Tu ne regrettes pas mais tu ne sais pas trop comment te comporter aujourd'hui.
Ce foutu côté réservé qui refait surface, tu l'aurais bien gardé au fin fond de toi-même rien que pour profiter de ce séjour. Et tu ne peux t'empêcher de jeter des coups d’œils - que tu espères être discret - envers Sora, maintenant que tu connais son nom, tu jubiles. Vous avez échangé quelques mots, mais tu n'as pas su sortir de cette coquille et tu as un peu fuit, subtilement certes mais ton cœur te soufflait de rester auprès de lui.
C'est vrai qu'en boite, tu as réussi à te montrer entreprenant, mais clairement, il te bouleverse à un point que tu ne sais pas trop quel comportement adopter.

A la place, tu traînes un peu avec ton binôme que tu apprends à connaitre, quelques brefs mots échangés et le reste du temps, tu suis le groupe. Ouvert, t'as ris, souris devant le nombre de connerie qui a pu être dites ou faites, t'apprécie ses moments, même-si parfois, tu te contentes d'être là.
Alors que le groupe se traîne vers les bains, tu te mets un peu à l'écart, finalement, t'es encore en train de décuver de la veille et même-si t'assumes ton corps, il y a des regards que tu redoutes de découvrir le ressenti...
Ralentir la cadence ne t'aidera pas à reculer ce moment fatidique mais psychologiquement, ça te rassure.

ODAIBA NOUS VOILA !
(vous avez dit beauf ?)Après le peu de sommeil, le manque d’énergie et également les coups donnés par Jun, entre hier et aujourd’hui, tout ta semblait hyper long, parfois bien, parfois super-bien et parfois... Hyper amer. Tu as décidé de suivre les autres au bain, il y a ton coloc l’homophobe et ton charmant compagnon de la veille ici, dans le même bain, puis y a un mec qui semble assez « cool ». Okay. Tout va bien. Tu sens les regards de Jin-Kyung sur toi et tu en profites pour le regarder à ton tour, lui sourire. Tu n’as pas changé, tu ne changes jamais.

- Bien dormis ?

Tu te rapproches en guettant à ce que ton coloc ne reste pas trop loin, t’aimerais pas devoir le chercher partout, te prendre la tête avec et te faire taper par surprise... Une nouvelle fois.  T'essaie de montrer à Jin-Kyung qu'il n'a pas besoin de stresser, que tu es par quelqu'un de mauvais, que tu l'apprécies et puis qu'y as que ça d'important à savoir.

- Putain ça fait du bien... L'eau.

En vrai ici, tu es à ton aise, de l'eau chaude, des femmes, des hommes, le tout presque à poil. Bref parfait.

ODAIBA NOUS VOILA !
(vous avez dit beauf ?)
le spa.
c'était la meilleure idée
le meilleur cadeau
qu'on pouvait donner à
bae.

lui qui est toujours tendu comme un string
il allait enfin pouvoir se détendre
péter un coup
chier un coup
se réchauffer le cul pour ne plus être aussi désagréable qu'il est déjà d'habitude.

mais
la vérité
c'est qu'il aime pas ça bae.
il n'y est jamais allé
et il déteste aller en terre inconnue

même si son japonais reste parfait
bae n'aime pas
ça.

mais il se force.
de une parce qu'il veut essayer
par simple curiosité
mais aussi parce qu'il ne doit pas lâcher une seule seconde
lee jin-kyung.

un partenaire
un type
qu'il a vite fait apprit à connaître
par de simple mots échangés
un grand effort pour bae

mais

sa seule préoccupation du moment
était de ne pas finir gelé sur place.

le froid menace
mais bae riposte et se chauffe les doigts en fumant
sa petite cigarette du jour
la dernière avant d'entrer
celle qu'il jette bien rapidement lorsqu'il a finit
juste devant l'entrée du spa.

il est dégoûté
de devoir laisser hanae avec son double
mais il fait un effort
et va voir s'il y a des places libres pour un massage.

ah lala.
les papouilles.
une réelle histoire d'amour.

il s'informe en deux temps trois mouvements et fait un signe de tête à lee
l'invitant
((ou le forçant))
((qui sait))
à venir.

« ça te dit un massage  ? ce sont de belles gonzesses en plus. »

puis il réfléchit
et se rattrape

« ou des mecs si tu préfères. »

au cas où
parce qu'il veut pas se faire mal aimer
dès le premier jour
il est déjà assez tendu comme ça...

et il continue
au cas où
encore

« ou alors un sauna. »
« tu préfères quoi ? »

gros effort
bae fait un gros effort

lui qui est si silencieux d'habitude,
si peu bavard
...
le voilà qui se préoccupe de savoir ce que voudrait faire ou non son partenaire en premier.

ODAIBA NOUS VOILA !
(vous avez dit beauf ?)

Le spa, tu vois la devanture qui se profile à l'horizon et tu angoisses, y'a pas vraiment de quoi, mais c'est dans ta nature de renfermé. Bon, en ce moment, tu t'es clairement ouvert à certaines personnes mais tu as toujours en toi ce trait de caractère à la fois emmerdant et satisfaisant. Les gens ont tendance à moins t'emmerder lorsque tu ne relèves pas la tête, que tu restes dans ta bulle, ça les provoque pas, donc ils te foutent la paix.
En somme, tu es en train de tergiverser sur toi-même lorsque tes pieds frôlent l'entrée, tu lèves les yeux, tu vois tout le monde qui sont déjà à l'intérieur et comme un mouton, tu les suis, te frayant un chemin entre tous, histoire de ne pas être à la ramasse.

Alors que tu hésites pour savoir par quoi commencer, tu vois ton binôme qui te fait un signe de tête. Tu le sens de plus en plus sociable, tout du moins, il fait des efforts et tu le remarques bien.
Tu esquisses un sourire quand il essaie de se rattraper en précisant pour les hommes, il a peut-être commencé à te cerner. T'avoue qu'un bon massage ne serait pas de refus, mais avant tu es plutôt tenté d'aller te détendre quelques minutes dans le bain.

Amicalement, tu le regardes, essayant d'être le plus sympa possible, parce qu'il est sympa quand il est comme ça, et puis, tu peux pas trop le juger, tu le connais pas assez et c'est justement en le côtoyant que tu vas en apprendre plus sur lui.
"Un petit bain pour commencer et on se rejoint pour un massage ?" Non, en faite, en mesurant tes paroles, tu te rencontres qu'aux oreilles d'un gay, ça pourrait paraître une étrange proposition. Tu ris intérieurement de ta connerie mais ne rectifies pas tes paroles, t'assumes et au moins, tu pourras peut-être en savoir plus sur lui de cette façon. Finalement, t'arrive un peu à te détendre avec lui, c'est positif et encourageant. C'est pas comme-ci tu allais passer tout le séjour en sa compagnie. Ironie dans tes propos.

Tu lui laisses le choix de te suivre ou non, mais pour sur que tu ne le lâcheras pas, tu n'as pas envie de perdre ton partenaire de vue.

Te dirigeant vers les bains, tu oses affronter cette timidité de ton corps et entre à l'intérieur, t'installant parmi les autres, et tu ne peux t'empêcher de repérer Sora qui se rapproche de toi. "Bien dormis ?".
S'il fait référence au fait que tu es parti te coucher avec le sourire aux lèvres après votre petit moment à deux, clairement oui, tu as bien dormi et le long sourire qui s'affiche sur tes lèvres sans que tu en es réellement conscience doit parler pour toi !

Au final, tu ne devrais pas te prendre la tête ainsi, mais c'est dans ta nature, tu fais avec, et tes yeux qui observent ce corps presque à poil juste à tes côtés, tu te laisses à nouveau subjuguer, ses cheveux humides et ses gouttes sur sa peau...secouant ta tête, tu te reprend...il manquerait plus que ça te flanque une érection devant les autres.
Il a raison, le bain détend, et tu te permets de regarder autour de toi, appréciant également les nombreuses vues aux alentours, rien ne t'empêche de mater en toute discrétion et tu te laisses couler sur le rebord du bain, les coudes posés, tu fermes les yeux, profitant de ce moment de détente tellement mérité. Tu penses également à lui répondre, "Comme un p'tit bébé, après un bon repas" Explicitement tendancieux.

ODAIBA NOUS VOILA !
(vous avez dit beauf ?)
C'est une bien belle récompense après une pareille journée. Sun Hee, elle n'est de loin pas fâchée d'être tombée sur cette activité au charme particulier. Elle a le sourire de joie qui orne ses lèvres pleines, et c'est bien là un signe de son contentement. Madame Liu, dans tous les cas, elle se considère comme chanceuse. Oui, elle n'était pas à plaindre Sun Hee. Rien ne l'amusait d'avantage que ces petites surprises que lui réservait l'archipel. Enfin, il y a une part d'amusement d'un côté. Et de l'autre, il y a l'inévitable curiosité. Un étonnement léger face à un monde qu'elle n'avait pas encore eut l'opportunité d'explorer, une terre inconquise qu'il lui faudrait fouler. Mais l'heure n'était ni aux croisades, ni aux batailles. Elle était aux profits. Aux plaisirs qui réchauffe les poitrines, à la chaleur qui anesthésie. Elle était à la caresse des eaux sur le grain de peau, à la régularité d'un souffle qui doucement se perd entre les vapeurs d'eaux.

Sun Hee, elle déambulait à travers les bains. Ses élèves avait été abandonnés à l'entrée du spa, sans autre obligation de la retrouver à la sortie du SPA à une heure précise. Un instant pour eux. Un instant pour elle. Bien qu'elle puisse apercevoir quelques têtes qui déambulaient dans les bains. Pourtant, madame n'en fait pas grand cas. Ces enfants là, après tout, ont d'hors et déjà dépassés la majorité international. Piètre prétexte pour ne pas s'enliser dans la peau de la despote autoritaire. Mais étrangement, madame s'en contentait. Oui Sun Hee, elle s'en satisfaisait. C'est donc le pas léger que madame Liu s'avança dans l'un des bains, s'immergeant jusqu'aux épaules, les paupières closes. Une journée sans drame, après tout, ça semblait jouable.

ODAIBA
(groupe 2)
instant de paix. instant de silence. instant avec les mômes éparpillés qui cette fois s'égratignent pas dans la cour de récré - presque tenté de constamment les appeler les chieurs ou les grands enfants. haku qui regarde vaguement, concentré qu'à moitié sur sa surveillance obligée - ah, le pire qui pourrait leur arriver, ce serait de glisser et de se ravager la face contre la flotte. épaules qui se haussent, l'oreille à peine tendue vers les paroles qui fusent, résonnent dans l'écho. plus que du bla - bla - bla - puis les fringues qui tombent, l'eau qui vient s'évanouir sur sa peau, y incruster les pores, délier les muscles des nerfs en pelotes.
haku qui sent la nostalgie le choper,
en plein dans les tripes, en plein dans le coeur. oeillade vers le visage de la collègue, de l'amie, de la seconde détentrice des règles importantes lors d'un voyage scolaire - glorieuse idée.
- si y'en a un qui joue au con aujourd'hui, juré, j'le tue. le rire fait vrombir sa gorge, la tête tombe un peu en arrière, coudes sur le rebord, à trouver une soudaine fascination vers le plafond. ah putain quel pied... murmure, tatouages qui se déforment sous les mouvements presque imperceptibles de l'eau - et le regret du japon, le regret de sa patrie, d'avoir eu l'idée saugrenue un jour d'être parti.

ODAIBA NOUS VOILA !
(vous avez dit beauf ?)
Plus le temps passe dans ta vie, moins tu comprends. T'es juste en train de devenir fou ... Ou alors complètement con ! Qui sait ? Ce qu'il c’était passé le jour d'avant avec Tae Jun, ça te mettais les nerfs en pelote ... Mais concrètement comme approximativement tout dans la vie te met les nerfs en pelote, t'avais décider ce matin de juste te lever, tranquillement. Et de ne pas y penser. Voilà ... La meilleure solution, c'est la fuite et dans ta tête de gamin t'avais décider que t'en avais plus rien à faire. Tant que tu n'apprends pas qu'il a fait le con avec elle, tu les laisserais vivre leurs vies.
À la place, tu t’étais dit que c'était peut-être l'occasion de te faire des potes ... Enfin ... T’essayais d'y croire parce que concrètement, il n'y avait personne ici qui puisse t’intéresser.
La nuit avec Sora n'a d’ailleurs pas été facile, mais encore une fois, tu pouvais rien y faire. Ça te rendais pas zen pour autant de penser comme ça ... Parce que t'es jamais zen, mais quittes a passer toute la semaine avec lui autant faire un effort... Pour une fois. puis t'as trop mal au crâne que pour te prendre la tête sur autre chose...  T'avais d’ailleurs fini par t'excuser de ce que tu lui avais dit la veille ... Bon, certes, il n'était pas très hétéro et ça t’irritais le poil de le sentir se coller contre toi ... Mais le dire comme ça et surtout déblatéré sur son accent n’étais pas du tout gentil ... Puis aussi t’étais bourré donc les excuses étaient sorties toute seule.
Évidemment, t’étais un peu gêné sur certains détails ... Et la journée d'aujourd'hui n'aura clairement pas le don de te mettre à l'aise. Tu n'avais même pas pris de maillot. Comme un débile t'as du aller en acheter un dans la boutique du spa. Ton corps ... Tu n'aimes pas du tout le montrer, il est pour toi trop petit, trop maigre. T'es pas du tout mal foutu pourtant, mais toi, tu ne t'en rends pas compte, t'es pas à l'aise dedans et t'es encore moins à l'aise de le montrer.
Tu suis Sora , parce que tu ne sais pas qui suivre d'autre. Il rejoint le type avec qui il parlais dans la boite ... Ils parlaient un peu trop près d’ailleurs.
Tu détournes le regard ... T'as juste envie de t'en aller, mais sincèrement cette fois, tu te tiens bizarrement, les bras croisé sur le torse dans l'optique de le cacher. Les jambes serrée, une serviette autour de la taille , t'as l'air tout recroquevillé sur toi-même , debout , t'es clairement pas à l'aise et ça te rend tellement vulnérable, et aussi tellement irritable. T'avais cette impression malaisante que tout le monde te regarde, te juges, t’évalues et au plus profond de toi même tu te blessais tout seul à te rabaisser avant qu'ils ne puissent potentiellement le faire. Parce que tu fais toujours ça ... Tu te prépares mentalement au pire pour ne pas être blessé , tu essaies de te créé une carapace que tu perfore de l’intérieur. Tu n’écoutais même pas la discussion de ton binôme et de son nouveau pote, non tu le suivais juste parce que t'avais rien de mieux à faire.
Vous entrez dans l'eau, et tu te sens légèrement plus a l'aise , plongeant ton corps en entier , juste ta tête qui dépasse comme un petit champignon .... Qu'est-ce que t'as l'aire con. Mais au moins t'es caché. Et d'un air détaché , comme pour leur rappeler au deux que t’étais encore la, tu dis d'une voix totalement détaché , pas agressive , pas douce juste ... Neutre.
« Moi, j'ai fait un cauchemar, je crois »
Ouais, t'es tellement adorable quand tu t'y mets. Et tu restes dans ta position de Mongole.

ODAIBA NOUS VOILA !
(vous avez dit beauf ?)Tu pourrais en rire, la situation est absolument délirante. Entre hier et aujourd’hui trop d’événements ce son produit. Depuis ton arrivée ici, depuis que, tu as retrouvé Ji-Eun et que, tu as fréquenté les tarés de cet établissement tout le reste, te paraît bien fade. @Kim Bae un jeune homme que tu ne connais absolument pas, semble accompagné de @Lee Jin-Kyung, il lui propose d’ailleurs d’aller se faire masser, par un mec ou une nana. D’ailleurs un sourire se forme sur tes lèvres, lorsque celui-ci lui propose de se faire masser par un mec. Seulement toi, tu préférais qu’ils restent là, qu’ils décident de rester dans ce spa. Tu n’es pas sur de survivre, pas seul avec ton charmant colocataire et son caractère de merde. Finalement Jin-Kyung demande à rester ici, ouf !

Après que tu es demandé à Jin-Kyung s'il a bien dormi, tu admires son sourire qui semble confirmé les prochains mots qui sortiront d’entre ces lèvres. Ces lèvres, putain, les insolentes : "Comme un petit bébé, après un bon repas". Un sourire se dessine sur tes lèvres et éclabousse légèrement le jeune homme.

- C’est parfait dans ce cas.

Puis le jeune insolent commence à mater, alors... Tu te tournes vers ton colocataire qui semble extrêmement mal à l’aise. Pourquoi ? @Mori Haku en voilà un autre que tu ne connais pas qui s’exclame « si y'en a un qui joue au con aujourd'hui, juré, j'le tue ». Tu retournes ton attention sur lui, puis finalement...

- ça aurais était sympa que tu fasses ça hier.

C’était sincère et sorti tout droit du cœur, y en a un qui l’aurait mérité, putain. @takahashi ji Hyun ton colocataire de cette semaine s’enfonce dans l’eau, il attire ton attention en disant qu’il pense avoir fait un cauchemar. Il faut que tu trouves une façon de le détendre. Vraiment, là il te fait trop de la peine ton colocataire homophobe, coincée et chiant. Beau, ouais y a beau aussi. Tu te redresses, enlève la serviette autour de ta taille, serviette trempée que tu poses sur le crâne du champignon qui ressort de l’eau... Ouais la tête du jeune homme.

- Je te refroidis, tu as l’air sous tension. Ca va aller ?

Tu le taquine, t’espère qu’il va le comprendre et pas ENCORE péter un plomb contre toi, parce que ça te fais chier. Hier entre le début de la nuit avec Jin-Kyung et la fin de soirée avec Ji Hyun, tu n’as pas pus énormément dormir, ni penser à quoi que se soit d’autre que le corps de l’un et les problèmes de l’autre. Problème qu’il te semble créer seul. Bander c’est pas hyper grave.