♡ take me to church.

feat. yoon sung jae

l'enfant du chaos. cette même enfant dont on connait tous le passif. une championne déchue, un paternel assassiné, une mentalité décadente, perturbée, dépressive. elle n'aurait jamais dû se retrouver entre eux, ces sauvages alcooliques et drogués. cette soirée là, organisé par les saja, la jeune métisse pensait boire un simple soda, mais c'était sans compter la méchanceté, l'inconscience de certaines personnes qui n'ont fait que glisser une drogue dans son verre. la soirée a finit par tourner au cauchemar, mais pas dans l'immédiat. trop sonnée, droguée, elle ne prit guère conscience que peu après être sortie au bras de ce garçon, elle allait terminer dans son lit. à l'image d'une fille facile, c'est lors de cette fameuse soirée que la belle perdue sa virginité. aucun souvenir de ces heures passées dans les bras du dogsuli, rien, même pas un flash qui viendrait à l'aider à se souvenir de qui avait bien pu la droguer pour que cela arrive. elle vient alors chercher de l'aide en celui qu'elle n'a jamais aimé, qu'elle a même longtemps détesté pour lui avoir arraché son père. assise, seule, au beau milieu de cette église, c'est avec la tête baissé qu'elle tente de demander pardon. elle n'en voulait pas au rouge, loin de là, il ne faisait que répondre à ses pulsions d'être humain, de mâle. mais elle s'en voulait, à elle même d'avoir été si naïve, d'avoir perdue ce précieux de façon si honteuse. t'as rien à foutre ici. froide, elle le sentait le dogsuli derrière elle. longtemps elle avait cherché à l'éviter, par honte, par dégoût. longtemps elle avait courue dans la direction inverse de la sienne pour ne pas avoir à lui expliquer. lui devait certainement se montrer fier d'avoir ajouter une petite vierge à son tableau de chasse, mais elle, c'était une tout autre histoire.

feat. Jeon Hylia

Profiter de son état pour coucher avec elle, te l'approprié alors qu'elle ne savait même plus qui elle était. La nuit dans ton lit, la chaleur de vos corps, t'avais pas mis longtemps avant de comprendre qu'avant toi, personne n'avait pris la peine de lui laisser goûter au plaisir intense de deux corps qui se mêle. Ça t'avais fait encore plus bander. Vierge, pure, son regard innocent, perdu, mais pourtant consentant. Tu charmes trop, tu sais comment faire plier, et tu l’avais séduite. Même sans drogue, tu y serais arrivé, mais tu remerciais au fond la personne qui avait rendu la tâche plus facile.
Le problème actuel était que tu voulais te prouver à toi même par une sorte de challenge malsain, que même dans son état normal, tu pouvais te l'appropriée a nouveau, tu avais été tellement doux avec elle. Et pourtant elle t’évitais. Regrettait-elle son acte ? Cela ne te vexait pas vraiment ... Mais cela te contrariait. Plus on te fuit, plus tu suis. T'es contradictoire comme mec.
Tu entras dans le bâtiment après elle, sourire aux lèvres .... Vierge et croyante ? Pourquoi l'image à ce moment-là te rendais encore plus fier ? T'as trop maté de porno en étant jeune, tes délires sont vraiment étranges ....
Sa voix résonna jusqu’à toi alors que tu te contentais de la regarder de loin, mains dans les poches. Tu t'approchas lentement, charismatique. T’étais à l’église et tu te prenais déjà pour dieu.
« Ha bon ? »
Juste derrière elle, tu souriais, tu essayais de garder une voix chaleureuse lorsque la sienne était glaciale... Elle t'en voulait ?
« Tout le monde est chez lui ici non ? »
Alors que ta vie était rythmée par chacun des péchés capitaux, on aurait plutôt dit que le diable venait d'entrer dans la maison des saints.
« Pourquoi tu m’évites ? »
Après tout, tu ne lui avais rien fait de mal. Le fait qu'elle te rejette t'avais beaucoup énervé, mais à ce moment-là, heureusement pour elle ,  tu te sentais plus calme.
Tu trouvais la métaphore plutôt amusante. Elle était l'ange, et toi le démon. Quelle belle image.
Tu t'approchais un peu plus, ton buste frôlant son dos.
« J'ai fait quelque chose de mal ? »
Ta voix restait douce alors que ton sourire se faisait carnassier.

feat. yoon sung jae

passant ses nuits à pleurer, elle cherchait une raison, un coupable. pourquoi elle ? pourquoi avoir glissé cette drogue ? pourquoi ne peut-elle pas se souvenir, ne serait-ce que d'un tout petit détail ? rien. absolument rien. alors oui, elle se réfugiait chez celui dont elle avait aucune confiance, elle baissait la tête face à lui, lui demandant silencieusement où elle avait pu fauter pour mériter cela. aucune réponse, évidemment. vient alors la voix du rouge qui vient à raisonner dans la pièce avant que son torse ne touche celui de la jeune femme. un frisson parcoure son échine, de quoi lui glacer le sang. se retournant, elle n'hésita guère un seul instant avant de coller violemment sa main sur la joue du garçon. ça fait quoi de baiser une vierge, droguée qui n'a conscience de rien ? le regard noir, pouvant aisément le tuer d'un simple regard si cela lui était possible, elle sentait sa main picoter, ce qui signifiait bien la violence du geste. t'es fier de toi ? ça t'excite ce genre de plan ? elle aurait pu, porter plainte contre lui, contre son manque d'attention, ou plutôt son manque d'aide en la voyant clairement dépossédée de tous ses moyens. elle lui en voulait d'avoir abusé de sa fragilité dans ce moment pour une simple partie de jambes en l'air. elle lui en voulait de lui avoir pris ce qui lui restait de précieux, de pur. explique-moi pourquoi j'irais pas porter plainte contre ta petite gueule de sale enfoiré ? il prendrait cher, c'était une certitude. tellement cher que sa jolie popularité en deviendrait sale, répugnante. il deviendrait alors l'homme qui abuse de la faiblesse des femmes, ou encore, l'homme qui a besoin d'une victime, saoule et droguée pour se vider. rien de glorifiant.

feat. Jeon Hylia

Le claquement de sa main sut ta joue résonne entre les murs de l’église, la colère monte ensuite en toi, tu lui parlais calmement jusqu'à présent, mais ton regard devenais noir plongé dans le siens ... Ce que ça fait ?
« Bah écoute ... J'ai tellement kiffer que je me suis dit que peut être, je devrais recommencer... Le problème, c'est que maintenant .... T'es plus vierge du tout crois moi »
Ta voix désormais aussi glaciale que la sienne. Tu ressentais sur ta joue que l’impact n'avait pas été faible ... La garce. Elle va se victimer peut-être ?
« ooooh là ma jolie .... Je n'étais clairement pas le seul à être excité ... Même complètement défoncée, tu mouillais comme ... Et bien comme une petite vierge justement, je suis très fier de moi »
Des mots aussi sales dans un endroit aussi pieu ... C’étais pas mal comme atmosphère si le contexte avait été diffèrent, mais là elle t'as vraiment énervé.
Lorsqu'elle parle de porter plainte, tu réagis au quart de tour , tu attrapes son bras, la retournes dos contre toi et cale son bras entre vous deux corps, si elle bouge, tu sers, si elle parle encore inutilement, tu sers, ton autre main glisse sur son ventre alors que d'une voix un peu trop sûr, tu lui glisses à l'oreille.
« Vas-y ma belle... Je ne t'ai pas forcé, tu sais ? Je t'ai obligée a rien, fait pas ta victime ! La seule à qui tu peux en vouloir, c'est à toi-même ! Par contre si tu veux que je te donne une vraie raison de porter plainte ça peux s'arranger, tu sais ? »
De toute façon , t'as assez de zéro sur ton compte en banque pour te sortir d'affaire. Et puis ... faut-il encore qu'elle le prouve ! Tu n'as pas vraiment peur. Tout ce a quoi tu penses la, c'est qu'elle t'a énervé et que tu vas lui faire regretter le fait de t’avoir giflé. Peut-être que tu prends ses menaces un peu trop à la légère ... Mais tu t'en fous
Tu ressers un peu la prise dans son dos, remontant sa main, tirant sur son bras juste pour lui faire mal.
« Donc .... pourquoi tu m’évites ? »
Tu connais la réponse, mais tu es juste tellement tordu que tu veux lui entendre dire. Ça ne te dérange pas qu'elle regrette ! T'en a rien à faire. Mais ça te rend dingue le fait qu'une fille aussi jolie et aussi bonne t'ignore comme si t’étais la dernière des merdes existante. T'es pas vexé ... T'es juste capricieux et elle est ton caprice.

feat. yoon sung jae

elle se retrouvait face au diable en personne. ici même, dans ces lieux saints qu'elle a autrefois visité pour parler de sa religion et sa croyance extrême envers son protecteur. aujourd'hui, elle se retrouve prisonnière d'un mal dont elle se serait bien passé. humiliée, souillée elle troque ses larmes et sa peur pour un rire des plus glacial, effrayant. il raisonne entre ces murs. elle sent la douleur que lui inflige de dogsuli, mais rien à faire, elle rit, encore et toujours. la tête baissé, elle fixe le sol un court instant avant de rejeter sa tête vers l'arrière. de façon assez violente, elle cogne contre la belle gueule du rouge, ce qui lui permet de se défaire de son emprise. ça me semble logique non ? elle ne voulait pas prendre la peine de répondre à ce qui lui donnait, à lui, un semblant de bonne conscience. à quoi bon ? prenant en considération seulement sa dernière question, elle arque un sourcil, gardant un fin sourire sur les lèvres. je suis loin d'être fleur bleue, mais disons que le fait d'être traité comme une sous-merde ne me plait pas. au fond, si le garçon avait prit la peine de s'excuser de l'acte, de s'excuser d'avoir plus ou moins abusé de sa fragilité, elle aurait fait face, elle serait passé outre et aurait continué sa petite vie bien tranquille. encore une fois, je savais que les dogs étaient des enculés de première, mais de là à vouloir se taper une nana complètement droguée et qui n'a conscience de rien, c'est assez.. écœurant. elle se balade, quittant l'espace vital du rouge pour se glisser entre les rangées de bancs de la pièce. elle ne le fuit plus, c'est terminé, elle cherche seulement à jouer, occuper son esprit pour calmer sa colère. c'est à se demander comment tu fais pour bander encore en ayant cela sur ta conscience. c'est à croire que tout paraissait normal pour le dogsuli, mais pour elle, c'était loin d'être le cas. elle avait besoin de comprendre pourquoi l'humain était capable d'accomplir de telles choses.

feat. Jeon Hylia

Elle rigole, tu sers un peu plus, remontant sa main entre ses omoplates, mais le choque fut fatale, l'arrière de son crâne percute ton visage, t'as juste eu le temps de tourner la tête pour ne pas qu'elle te pète le nez. Tu grognes de rage, alors que la belle s'extrait de ta poigne que tu avais complètement desserrée sous l'effet de surprise. Ta main se porte automatiquement sur ton visage ... Ça fait mal. Bien plus qu'une gifle. La, c'est plus que de la colère, c'est de la rage, de la haine. Tu l’écoutes tout en te rapprochant d'elle. Tu la suis.... Pour qui elle se prend ?
D'un coup , tu l'attrapes par le col et la tires vers toi sans aucune douceur, ton regard noir posé sur elle, ton visage rouge. Tu lui souris. Elle fait sa maligne ... Elle ne va pas faire sa maligne longtemps.
Tu la bloques entre ton corps et l'un des pilier constituant l’architecture de cette église. Chaque mot raisonnait.
«Droguée ou pas , consciente, ou pas , t'as sucé comme une vraie pute ça ne s'invente pas .... Là, tu parles pour rien ... Je t'ai baisé et si c’était à faire, je le referais »
Elle parle trop, beaucoup trop ... Pour ne rien dire, juste pour ouvrir sa bouche de sainte ni touche .... Plus si sainte que ça d’ailleurs.
Tu pressais ton corps contre le siens, près a anticiper une quelconque tentative de défense ou de violence venant de sa part.
Tu glisses ta main sur sa cuisse, pressens tes doigts sur sa chaire (couverte ou pas , je ne sais pas comment elle est habillée) , redessinant le chemin jusqu’à son entre-jambe que tu venais taquiner sans pudeur.
« Tu te poses trop de questions... Mais si tu veux tout savoir, j'ai rien qui me pèse sur la conscience, même pas le fait de t'avoir divergé alors que t’étais même pas état de te rendre compte de ce que tu faisais. »
Preuve irréfutable que tu prends les gens pour des objets. Tu respires un grand coup, très agacé, là t'essaie de te retenir de la frapper et tu ne sais même pas pourquoi tu te retiens , fille ou pas , t'en a rien a foutre. Ta main se glisse entre ses jambes et l'autre dans ses cheveux que tu tiens le poing serré.
« Tu fais trop la maligne ... Je te jure. Tu fais ta victime, tu pleurniches, mais tout ça, c'est de ta faute .... Tes parents ne t’ont pas appris qu'il ne fallait pas accepter de boire dans un verre que l'on t'offre et de toujours surveiller le tiens .... ici t'es à l’université, pas a la maternel. »