[m] min gi ↬ ft. au choix

■ Hey you

Déjà merci d'avoir prit la peine de lire tout mon blablatage de circonstance sans prendre la fuite, ça prouve que t'es un bon Sinon que dire de plus à part que j'ai donnée les grandes ligne du personnage et que le reste est assez libre en fait. Franchement, je suis d'avis que le plus important est qu'on puisse s'approprier au maximum un scénario alors n'hésites pas à manier le bébé pour qu'il a la vision que tu t'en fais  

En cas de question, incitation à la débauche, invitation à manger des cookies je reste disponible all day all night juste pour tes beaux yeux sweety alors surtout n'hésites pas    I'm all yours  

Des bisous sur ta fesse gauche mon chat♡

■ Gi il a toujours eut cette frénésie intellectuel, esprit libre à la langue rebelle. Gi il a pas de coeur à l'intérieur, seulement de la rancoeur. Gi c'est un sauvage, un indomptable. Gi c'est l'amertume, aussi froid qu'un morceau de bitume sur la glace. Gi il a des exigences pleins le front, des revendications à foison, mais jamais la force de les porter jusqu'à leur accomplissement. Gi il aime et il déteste, jamais l'un sans l'autre, le reste c'est de l'indifférence. Le reste, c'est du mépris.  Gi il a jamais eut la force de courir après la vie, il préférait la regarder pourrir.
■ Il n'a jamais eut à se plaindre Gi. Il avait un papa et une maman aimant, des jouets à ne plus savoir quoi en faire et des caprices toujours comblés avant même qu'il n'ait la liberté de les prononcés.
■ Mais Gi, il n'en a tiré qu'un égocentrisme peu commun, le goût de l'argent, des belles choses et des bonheurs éphémères. Egoïste jusqu'au bout des ongles, le jeune homme n'a que rarement apprécié quelqu'un avec sincérité. Pas même sa famille (c'est tout du moins ce qu'il se plait à affirmer) envers qui il entretient une compétition féroce et une volonté certaine de ne démontrer aucune faiblesse.
■ Gi, certains le disent insensible au sens clinique du terme. De ceux qui n'éprouvent rien de plus que du vide. Pourtant lui, il les sent battre au creux de sa poitrine. Toutes ces petites choses, tous ces bouts de lui qui toujours le font frémir. Elles sont juste plus violentes, plus prenantes que chez autrui. Incontrôlable.
■ Nina, il l'aura rencontrée lors d'un concert. Au début ce n'était qu'une conversation volée autour d'un gobelet d'un mauvais vin, puis ça s'est transformé en sortie régulière jusqu'à aboutir à une relation charnelle et passionnelle. Au fond, il ne l'aimait pas vraiment. Elle l'amusait, avec son agaçante honnêteté, son amour des arts et son côté bohème. Il aimait lorsqu'elle l'enlaçait le soir, lorsqu'elle lui tenait tête, lorsqu'il réussissait à la faire plier.  Et il adorait lui faire l'amour, voir ce visage insolent se tordre au gré de ses convenances. Mais non, l'aimer, il ne se l'était jamais avouer.
■ Pourtant entre eux, c'était un feu à ciel ouvert. Un brasier qui se consume au fond des artères et vous empêche de prendre l'air. Entre eux, ça n'a jamais été sain. Mais Gi, il s'en foutait.
■ Cela étant Gi, c'est aussi un grand fan de musique. De la soul au rock, du jazz à Bach, Muse ou Beethoven, il ne s'impose aucune frontière. La musique est un plaisir, un échappatoire, il s'en entoure au quotidien comme d'autre s'enivre de whisky.
■ Grand fan de cinématographie, monsieur peut aussi déblatérer pendant des heures sur l'influence de l'impressionnisme allemand sur le cinéma de genre sans sourciller. Et c'est aussi chiant que ça en a l'air, surtout lorsqu'il ne semble pas constater que son interlocuteur souhaite juste avoir la paix.