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 (18+) you make me rrrrrr

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Seo Jun
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Seo Jun
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MessageSujet: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyLun 17 Juil - 19:31
you make me rrrrr

featuring. kang yoan
Je soufflais, regardant ma montre. Ce soir, c’était vernissage guindé. On n’avait beau me répéter que la populace riche était celle qu’il fallait attirer en premier, je ne sautais toujours pas de joie quand je devais organiser un vernissage de ce type. Ma longue robe en satin bleu nuit me pesait. Trop de tissu à mon goût. J’avais pourtant réussi à y imposer ma touche perso. Le décolleté en balconnet restait plutôt abordable, mais le fendu de la robe promettait aux vieux débris de frôler l’arrêt cardiaque. Si les pompiers finissaient par se ramener, ma soirée risquait de faire parler d’elle. A cette idée, je souris devant mon reflet. Je me baladais dans les allées, vérifiant que tout fut bien en place. Refusant de suivre toutes les convenances, j’avais tenu à ce que le fond musical se rapproche un peu plus de l’énergie de mes oeuvres. Le doux son de guitares électriques résonnaient en fond sonore dans le creux de mes oreilles. Oui, parce que je devais veiller à ne pas trop choquer, alors on avait fait attention à ne pas choquer les tympans. Pourtant, la décadence et le choc étaient mes marques de fabriques. Je m’arrêtais devant un tableau, demandant à l’assistante qui m’a été désignée de le déplacer et de le remplacer par un autre. Une fois que tout fut - presque - comme je le voulais, les invités entrèrent au fur et à mesure.

Ce qu’il y a au moins de rassurant avec ces gens, c’est qu’ils sont incroyablement ponctuels. Une foule se déversait déjà dans la galerie, embaumant la pièce de Chanel la vieille et d’Eau de Cologne aux effluves de billets verts. Si je savais que j’allais passer la soirée à m’ennuyer, je comptais au moins vendre mes oeuvres les plus chères. Nonchalamment, je me saisis d’une flûte de champagne - on met les petits plats dans les grands - et avançait vers mes convives. Mes cheveux lâchés contrastaient fortement avec les coiffures toutes plus compliquées de mes convives, tout âge confondu. Je saluais avec forte sourire Mademoiselle Colier-De-Perle-Tu-Fais-Vieille et Miss Je-Compte-Sur-La-Fortune-De-Papa-Pour-Me-Trouver-Un-Mari (je me suis retenue de lui souhaiter "bon courage" au vu de son physique), slalomait entre deux vieux pervers et serrais la main de Monsieur Je-Pue-D’la-Gueule. Je n’avais fait que ça que je reposais déjà mon verre évidemment vide pour m’en saisir d’un autre. Putain il va me falloir beaucoup de courage. D’autant plus que j’étais de mission ce soir. Si tous ces vieux schnock étaient invités, j’en attendais un tout particulièrement : Kang Yoan. Je n’avais pas pris la peine de le Googlisé. Au vu de l’incroyable richesse dont il était doté et de la défiance avec laquelle on m’en avait parlé, je m’étais imaginé un vieux débris jamais marié, une sorte de Picsou faisant de pauvres femmes comme moi ses victimes. J’en salivais d’avance …

Mais j’aurais peut-être dû le Googlisé, ne serait-ce que pour distinguer son visage parmi cette foule de vieux croulant. Je laissais aller ma mine à la déprime, me ravisant en voyant un couple passer devant moi. Et merde, le champagne ne réussit même pas à me rendre pompette. Fais chier … Je tâtonnais mes hanches, à la recherche de poches. J’oubliais que les robes de princesse n’en comporte pas. Je n’avais ni téléphone, ni petite pilule pour m’aider à décoller. J’allais devoir faire face, seule et sans munitions, tel un soldat envoyé vers une mort certaine. C’était quoi déjà le titre de ce film ? Merde, je demanderais à Zu. Ma coupe - deuxième, je précise - vide, je m’en saisis d’une autre, refusant les "amuses-bouche" (très certainement avec un vieux goût de caviar) et scanne la pièce. Soudain, mon sourire réapparait, comme par enchantement devant cette magnifique paire de fesses. Merde c’est pas possible d’être foutu comme ça … Même à travers son costume, je devine les muscles qui s’y cachent. J’ai un coup de chaud. « Pitié, ne me demandez pas comment cette image m’est venue à l’esprit ou alors qu’elle en a été l’inspiration … Je vous répondrais que je n’en sais rien. J’ai eu envie de peindre.» Je m’étais avancée pour me glisser à côté de Monsieur Diablement-Sexy et lui sourit, avant de me reconcentrer sur la toile, penchant la tête sur le côté. « Ce qui est néanmoins intéressant, c’est qu’on peut la lire dans tous les sens.»


Dernière édition par Seo Jun le Ven 21 Juil - 12:41, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyMar 18 Juil - 8:44
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featuring. seo jun
tenue + Ce n’était pas vraiment dans ses habitudes de se rendre à un vernissage d’un artiste. Car même s’il aimait l’Histoire et les musées, il avait une préférence certaine pour les anciens artistes, notamment les peintres européens. L’art moderne, très peu pour lui. Ce que Yoan appréciait, c’étaient les représentations de paysages, qui lui procuraient un étrange sentiment d’apaisement, et celles de la vie. Qu’elle soit quotidienne comme une balade ou un portrait, ou bien témoignant d’un passage historique telle une guerre par exemple. Alors, quand le bruit du vernissage d’une jeune artiste aux multiples facettes lui vint aux oreilles, ce serait mentir que de dire qu’il sauta de joie. D’autant plus que cela n’avait nul rapport avec son monde à lui, de la haute couture. Cependant, détestant passer à côté d’une pépite, le métisse accepta de jeter un œil aux documents qu’on lui avait apporté, à propos de cette personne et de ses œuvres. Une femme. Quasiment de son âge. Et ce qu’elle produisait était… particulier. Ca avait du sens, une signification, sans réellement en avoir en même temps. Étrange. Et fascinant à la fois. Yoan est un être qui s’intéresse aux autres, à leur façon de réfléchir, de voir le monde. Et cette fille là venait de titiller sa curiosité. Checkant son agenda pour voir si la date correspondait à un créneau de libre, un fin sourire étira ses lèvres en constatant que c’était le cas. Très bien. A nous deux, jeune demoiselle.

Le fameux soir arriva plus vite qu’il ne l’aurait pensé. Vêtu d’un beau costume, il fit son entrée quelques minutes après après la première grosse vague d’invités. D’ailleurs, il fut surprit qu’autant de monde se soit déplacé. Aurait-elle déjà une notoriété certaine ? Saisissant une coupe de champagne -ne faisons pas enfreint a de bonnes habitudes-, Yoan commença à imiter les autres convives, et à s’approcher de quelques tableaux. Il sentait en même temps des regards sur sa personne. Ce qu’il comprenait. Après tout, qu’est-ce qu’un CEO d’une marque de haute couture faisait ici ? Saluant quelques connaissances d’un poli geste de la tête, ses pas suivaient le chemin imposé par l’artiste, tandis que son palais goûtait au breuvage pétillant. Et finalement, le métisse s’arrêta sur une œuvre. Pourquoi celle-ci ? Car plus que les autres, il n’en comprenait pas le sens. Concentré à trouver réponses à ses questions, il se sentit pas cette nouvelle présence à ses côtés. Ce ne fut que la voix d’une inconnue qui le rappela à la réalité. « Oui, je comprend. L’inspiration vous vient d’un coup. Vous laissez vos doigts libres, et faire le travail seuls. N’est-ce pas ? ». Exactement comme lui, quand une idée de forme, d’associations, de couleur lui venait. Tournant alors la tête, Yoan posa ses yeux sur celle qui était la l’origine de ce vernissage. Wow. Elle était magnifique. L’écoutant parler, son regard restait néanmoins sur elle. Comme à chaque fois qu’il rencontrait quelqu’un, il prenait du temps pour analyser ses traits de visages, ses possibles tocs, les petits détails trahissant son caractère et ses habitudes. Et finalement, il revint à la toile, à son tour. « Le singulier a un charme indéniable. Je dois avoué être davantage sensible aux œuvres anciennes et réalistes, mais votre travail m’intrigue. Dans le bon sens. ». Il était sincère. Toujours. « Quelle est la toile qui vous tient le plus à cœur ici ? J’aimerai en connaître l’histoire. ». Lui offrant un délicieux sourire qui avait pour but de la mettre en confiance, tout en lui prouvant sa sincérité, Yoan planta son regard quelque peu charmeur dans celui de la jeune femme, glissant de nouveau sa coupe à ses lèvres pour en prendre une gorgée.
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Seo Jun
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MessageSujet: Re: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyMar 18 Juil - 12:52
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featuring. kang yoan
Je fis exprès de faire tarder mon regard sur la toile que je connaissais déjà par cœur. Parce que je sentais le sien m’inspecter et bon sang, ce petit frisson s’immisçant dans tout mon corps était délicieux. Au final, je passais une bonne soirée. Parce qu’en plus d’être sexy en diable, il était foutrement intéressant. Parlez-moi d’art avec un corps de rugbyman, je fonds direct ! « C’est quoi, votre peintre préféré ? Réaliste comme un De Vinci ou surprenant comme un Monet ? » Tout en le questionnant, je l’invitais à me suivre. Je surprenais des regards plutôt appuyés sur la personne de mon invité. Ce qui me plu. Il doit être important, bien plus que tous ceux réunis., pensais-je. J’attrapais une autre coupe au passage, avant de me retourner lentement vers lui, le bras tendu pour la lui offrir. La sienne était déjà vide, il fallait bien que je veille à ce que sa bouche soit sans cesse hydratée. « Celle-ci. L’une des premières qui m’a valu un petit succès, mais qui est ma plus grande fierté … C’est d’ailleurs la seule qui ne soit pas à vendre. », ajoutais-je en appuyant mon regard sur ses yeux, puis ses lèvres avant d’esquisser un sourire et de me concentrer sur la peinture qui me donnait le plus de frissons. Pour celle-ci, j’avais utilisé un camaïeu de bleu, avec un soupçon de blanc. Le fond donnait une impression fondue, propre aux inspirations grunge. Mais le centre du tableau c’était cette femme. Des cheveux épais, ondulés, en désordre. Suggérés, sans peindre avec détail. On ne voyait que son visage, la naissance de sa nuque tirée. Ses mains cachaient ses yeux, car j’avais trouvé qu’il était trop facile de faire transparaitre l’émotion par les yeux, le reflet de l’âme. J’avais choisi la bouche comme principale expression. Légèrement tordu, entrouverte, sa bouche charnue était peinte en noire. Selon l’interprétation et l’humeur des gens qui l’observaient, ils y lisaient l’effroi ou l’orgasme. Curieuse d’en connaitre celui de mon invité, je me retournais vers lui. « Qu’est-ce que vous y lisez ? »

Bien sûr, chacune de mes peintures a sa propre histoire. Mais je voulais entendre son avis avant de livrer la vérité. Mais je n’eus pas le temps d’entendre sa réponse. L’assistante me toucha le bras, pour me murmurer qu’un potentiel acheteur tenait à me poser quelques questions. Je m’excuse auprès de Monsieur Diablement-Sexy et glisse entre mes autres convives, ma robe flottant derrière moi. Un couple voulant se donner des airs d’amateurs de peinture via leur look – plutôt raté d’ailleurs – me posa quelques questions sur Satine, une peinture haute en couleur. Tout en répondant, mes yeux ne quittait pas mon bel invité. J’avais déjà envie de le dévorer. Mes yeux s’attardaient sur les traits de son visage, caressant la forme de son menton, descendant sur son cou, courbant sur les muscles que je devinais. Sans aucune gêne. Pour quoi faire ? J’esquissais un nouveau sourire à son adresse, puis clôtura la conversation avec le couple. Ravis, ils sortirent le chéquier. Ma mission était accomplie. Je retournais à l’autre bout de la pièce, passant une main distraite dans mes cheveux. « Vous ais-je laissé suffisamment de temps pour y réfléchir ? »

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MessageSujet: Re: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyMar 18 Juil - 15:20
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featuring. seo jun
tenue + Finalement, il avait bien fait de venir. Non seulement car il se surprenait à apprécier le travail de cette jeune artiste, dont le style n’était pourtant pas de ces préférés. Mais aussi, et surtout, car elle-même était diablement intéressante. Elle avait cette lueur dans les yeux dont Yoan raffolait. Celle de la confiance en soi. Mêlée à une passion certaine. Leurs mondes étaient à la fois éloignés et étroits. Ces deux êtres se comprenaient et se retrouvaient liés par cette créativité qui embrumait leurs cerveaux et guidaient leurs doigts. Finissant lentement mais sûrement sa coupe de champagne, le métisse n’eut pas beaucoup de longtemps réfléchir pour donner sa réponse à la jeune femme. « J’ai une affection toute particulière pour les impressionnistes. En particulier Armand Guillaumin. Je ne sais pas si vous le connaissez. Il était un fervent acteur de ce mouvement, surtout en France, mais il n’est malheureusement pas aussi célèbre qu’il le mériterait en Orient. ». La suivant alors vers sa toile préférée, Yoan accepta sa nouvelle coupe de champagne avec plaisir, la remerciant d’un délicieux sourire. Charmeur, comme toujours. Une fois devant le fameux tableau, le créateur retrouva son sérieux. Ses yeux caressaient chaque parcelle, avant de s’arrêter plus précisément sur le visage de l’inconnue peinte. Ce qu’il y lisait ? Tant de choses, malgré les traits légers et l’absence de contact avec les yeux de la brune. Cependant, Jun dut quitter sa compagnie, pour visiblement une possible vente. Ce dont, secrètement, Yoan était ravi pour elle. L’excusant d’un signe de tête, il la regarda néanmoins s’éloigner, pour apprécier les courbes de son corps mises en avant par cette robe magnifique. Sa langue glissa sur ses lèvres, d’un geste affamé.

Néanmoins, la belle revint très vite de nouveau à lui, pour son plus grand plaisir. De sa main libre qu’il posa doucement sur sa hanche, il l’éloigna d’un vieux papy gâteux qui reculait sans regarder où il mettait le pieds. « Attention à vous. ». Plantant quelques secondes son regard dans celui de la demoiselle, suite à ce geste, comme pour assurer sa dominance, il reporta ensuite son regard sur la toile, pour donner son opinion sur l’œuvre de Jun. « Vous allez sans doute me trouver étrange à dire cela, mais je la trouve érotique. On dirait une photographie. D’un amant, qui surprend sa compagne avant ou après l’acte. Elle est à la fois gênée d’être prise sous cet angle, mais à la fois excitée. ». Yoan marqua un cours arrêt dans ses propos, pour la regarder elle, l’artiste, de nouveau, un sourire en coin étirant ses lèvres. « Désolé. J’ai une imagination quelque peu… particulière. Ne m’en voulez pas. ». Il n’avait fait que répondre à sa question. Peut-être s’était-il laisser trop emporté par son esprit. Qu’importe. Il était ainsi, direct et franc. Voyant la salle continuer de se remplir, il désigna de sa main libre la baie vitrée. « Que diriez-vous d’aller quelques instants à l’extérieur. Prendre un peu l’air loin de cette foule tout en m’apprenant davantage sur votre parcours ? ». C’était l’été, ils ne risquaient pas d’avoir froid sur la terrasse. Et dans tous les cas, en bon gentleman, Yoan lui offrirait sa veste.


Dernière édition par Kang Yoan le Mar 18 Juil - 16:41, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyMar 18 Juil - 16:35
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« Merci. » Je dépose ma main sur la sienne, celle-là même qui effleurait ma hanche. Frissonnement délicieux. Mais non, je ne le trouvais pas étrange. Enfin un gosse de riche qui assume son côté sensuel. J’avais enfin en face de moi une personne qui n’hésitait pas à faire preuve d’un peu de franchise. Même si je lus dans son regard qu’il n’était pas du tout désolé, contrairement à ce que sa bouche disait. Amusant. Je ne répondis pas tout de suite, laissant mes oreilles se souvenir du timbre grave de sa voix. Monsieur Diablement-Sexy l’était à la fois quand il parlait. C’était grave, puissant, une voix d’homme tranquille mais sûr quand il vous plaque contre le mur glacé. Merde, voilà que je commençais à fantasmer. Je me racle la gorge, pour faire fuir à contre cœur ces pensées qui augmentaient la chaleur de mon corps. Regardant l’endroit qu’il me désignait j’acquiesçais d’un sourire. Quand j’avais visité les lieux avant d’y installer une grande partie de mes peintures, j’étais tombée amoureuse de cette terrasse. Tout en longueur, remplie de plantes vertigineuses, rappelant quelque peu une jungle sophistiquée. Un peu moi ce soir ; une plante carnivore perdue dans un jardin français.

D’un pas sûr, je lui emboîtais le pas. Une autre coupe de champagne en main – je pourrais tuer pour une bouteille de soju que je pourrais boire cul sec – j’y trempe mes lèvres. Le liquide me picote les lèvres que je lèche pour saisir les quelques gouttes qui s’y étaient glissées. L’immense porte fenêtre est déjà entrouverte et je n’ai qu’à me glisser dans l’interstice. L’air frais me saisit la peau. Sensation agréable. Une main dans les cheveux, j’observe quelques secondes de silence, appréciant la longue terrasse. Je veux la même chez moi … « Si je peux me permettre, c’est une amante qui surprend ce moment. » Je souris, plongeant mes yeux dans les siens, guettant la moindre agitation, incompréhension ou bien mouvement de recul qui trahirait sa désapprobation. Je sirote encore mon champagne, qui commence sérieusement à manquer de fantaisie, avant de continuer : « Je vais vous faire une confidence. En fait, c’est un peu le souvenir visuel que j’ai gardé de Suhee. J’ai en quelque sorte, une mémoire photographique … C’est pour ça qu’il s’appelle Fugace » Toujours ce regard mi-provocateur mi-interrogatif. Je cherchais à le sonder, voir jusqu’où son « imagination particulière » l’emmenait. Parce que, question singularité, j’en tenais une belle couche.

Je n’avais pourtant révélé ce détail à personne. Pas par pudeur. Franchement, il m’arrivait de m’envoyer en l’air sur des lieux publics en orgasmant sans complexes. Disons que c’était mon petit côté mystique. Finalement, mes yeux quittèrent les siens, à regret. A chaque fois que je le regardais, j’avais des flashs érotiques. Faut vraiment que je me calme. J’aurais pu le faire raquer, après tout, il était là pour ça non, mais l’idée de lui vendre mes tableaux n’avait même pas traversé mon esprit. J’ai été aveuglée par son petit cul de folie !

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MessageSujet: Re: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyMar 18 Juil - 17:11
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tenue + Yoan était très exigent. C’était une chose notoire, qui faisait entièrement partie de lui. Il n’en éprouvait aucune honte. Bien au contraire, à ses yeux, c’était une qualité. Et cela marchait bien pour le plan professionnel qu’intime. Ses employés, ses contractants, ses amis, ses amants et amantes. Tous étaient analysés, scrutés, choisis avec minutie. Et s’il y avait bien une catégorie de personnes dont il se lassait de suite et n’en trouvait aucun intérêt, c’était celle des gens faciles d’esprit, sans personnalité, qu’on pouvait lire comme dans un livre. Il les trouvait d’un ennui mortel. Sans charme. Alors, il n’était qu’amplement ravi de voir que la délicieuse artiste qui se trouvait en sa compagnie n’en faisait pas partie. Elle l’intriguait, et semblait avoir plus d’un point commun avec lui. Il était désireux d’en savoir plus à son sujet, aussi bien professionnellement que dans le privé. Jun avait réussit à attiser sa curiosité, ce qui était un excellent point.

Ils se dirigèrent alors tout les deux sur la terrasse, qui s’avérait être un très bel endroit. Bien plus que ce dont avait espéré le créateur. Posant sa coupe de champagne terminée sur une table haute se trouvant là, il refit glisser son regard sur le corps de la jeune femme, avant de reporter son attention sur elle. Alors comme ça, elle avait eut une histoire homosexuelle ? De plus en plus intrigante. Fascinante même. Yoan était flatté, qu’elle se livre ainsi à lui. Elle n’avait rien à craindre. Lui-même bisexuel, il ne lui jeterait jamais la pierre. « Et bien votre mémoire est fabuleuse. La toile est superbe. Si j’étais cette femme, je serai réellement flatté de vous avoir assez marqué pour finir pour un tableau. ». S’avancant vers elle, il effleura sa main de la sienne, avant de la dépasser pour s’aventurer davantage sur la terrasse. Le métisse n’était pas un tactile. Des caresses suffiraient pour l’apprivoiser, il en était certain. « Depuis quand peignez-vous ? Vous avez vous aussi des moments plus enclins que d’autres pour créer ? ». Que ce soit sous la joie, la colère, ou la mélancolie. Tous les artistes, quelques qu’ils soient, ont leur instant qui privilégie, qui embellit leur art. Finissant par venir à elle, Yoan laissa volontairement ses yeux suivre une ligne évidente le long du corps voluptueux de la belle, pour finir sur cette cuisse quelque peu dénudée par la brise. Le bout de ses doigts la frôlèrent, juste assez pour lui en tirer une cocasse chaire de poule. « Vous n’avez pas froid ? Cette robe est certes très belle, mais je m’en voudrait de vous faire attraper un rhume. ». Avec une lenteur presque interdite, ses doigts glissèrent sous le satin bleue, pour aller davantage contre la peau douce de la plus jeune. Son corps, par un naturel déconcertant, se rapprocha de celui de Jun. « Et, si vous deviez me peindre, moi. Quels émotions utiliseriez-vous ? Qu’est-ce qui ressortirait de cette toile ? ». Yoan voulait savoir ce qui était en train de traverser l’esprit de son hôte. Se reculant, retirant ses doigts de cette chaire qui donnait envie de la croquer, il descendit quelques marches pour se rapprocher des plantes, et les toucher, à leur tour. « On me décrit souvent comme un félin. Qui sait ce qu’il veut, qui sait se montrer attirant pour arriver à ses fins, et dévorer ses proies, sans scrupule. Qu’en pensez-vous ? ».
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MessageSujet: Re: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyMer 19 Juil - 11:27
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Sa façon de parler m’exhalais. Il n’y avait rien d’exagéré, de pompeux dans son langage. Bien sûr, il avait un dialecte différent du mien ; nous ne venons pas du même milieu. Mais il y avait un naturel courtois dans ses propos. Et l’utilisation de vouvoiement alors qu’il passait très clairement sa main sur ma peau … C’était électrisant. Comme cette main qui frôle la mienne, subtilement, succinctement. Un courant électrique glissa sur mon bras à ce contact. « Ca dépend. Je dois avouer que je n’ai rien de … conventionnel. Je peins quand j’en ai envie, sauf quand je suis triste. Je déteste peindre dans la douleur, je trouve la peinture trop larmoyante après.»  C’est chiant quoi. Tout le monde fait ça. « J’aime peindre quand je n’ai plus le contrôle, quand je me sens habitée par des pulsions. La plupart du temps, quand je suis sous stupéfiant.» J’avais lâché ça comme ça. Avec le temps, je me foutais pas mal de l’opinion qu’on pouvait avoir sur moi. J’étais comme ça, ça me plaisait et si ça vous plait pas, allez vous faire foutre. Mon terriblement sensuel interlocuteur se rapprochait tranquillement de moi. Pour ma part, j’étais totalement figée. Le moindre de mes muscles étaient tendus, comme en attente. Ma bouche entrouverte répondait au frôlement presque imperceptible de ses doigts sur le satin de ma robe. Et pourtant, je sentais ma peau frissonner à ce contact. Et quand il glissa ses doigts juste sur la fente de ma robe, je crus mourir liquéfier. Je n’étais pas très bonne à ce jeu-là. Dès que je me sentais frustrée, j’attaquais. Mais je sentis qu’il était homme à prendre son temps. Et j’étais trop curieuse de voir jusqu’où il pourrait aller pour me laisser engloutir par mes pulsions animales. Notamment à lui demander ce qu’il comptait faire pour me réchauffer. Mais bordel ça me brûlait les lèvres. Mais au lieu de ça, je restais muette. Lorsqu’il se détache finalement de moi, mon corps bouge d’un micromillimètre, comme aimanté au sien. Je mis foutrement du temps à reprendre contenance, mon corps en ébullition. Je m’éventais le visage avec la main avant de regarder droit devant moi, me détournant un peu de sa vue. Merde, merde, merde.

La description lui allait bien, c’est vrai. Mais je n’étais pas d’accord sur le choix de la peinture. La main que j’utilisais pour m’éventer me servit à balayer l’air une fois encore, mais en signe de protestation. Je finis par m’asseoir sur le rebord. Les jambes croisées, le tissu satiné glissait sur ma peau. « Encore une fois, c’est trop surfait de peindre les gens par rapport à leur représentation animale. Je préfère la forme brute, les contours floutés, l’avalanche de couleurs. Et pour savoir comment je vous peindrais, il faudrait que vous me marquiez suffisamment. » A nouveau, je souris, amusé par le terme de « marquer ». C’était totalement fait exprès. De nouveau, j’avais ces images en tête et putain j’avais tellement hâte de le libérer de tous ces tissus. On entendait le brouhaha des invités s’extasiant sur des peintures, se prêtant à des interprétations de l’autre. L’assistante principale courrait à droite à gauche, gérant les autres d’une main de maitre. C’était drôle de voir toute cette agitation, alors qu’un calme carrément sensuel régnait de l’autre côté, à l’abri des regards. Le soleil envoyait ses derniers rayons, éclairant légèrement ma peau. Un courant d’air ébouriffa mes cheveux et je frissonnais. Je sentis mes tétons se durcir au contact frais du vent. Ou bien était-ce par autre chose ? « On dirait que la peinture est un véritable sujet pour vous. Ca vous arrive de fréquenter des artistes ? Vous m’avez l’air bien trop propre sur vous pour ce genre de milieu … disons … en décadence avec le chic dont vous raffolez. »
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MessageSujet: Re: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyJeu 20 Juil - 6:15
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tenue + Plus il passait de temps avec cette jeune femme, et plus l’envie de la dévorer s’emparait de lui. Il faut dire qu’elle possédait tout ce dont Yoan raffolait : de l’intelligence, une passion, un caractère sur de soi, et évidement, un corps et un visage magnifique. Car oui, il restait un homme, et ne pouvait nier que les formes généreuses -dont cette poitrine bombée qui lui faisait tourner la tête- de l’artiste avaient attiré son regard de prédateur. Comment aurait-il pu en être autrement ? Cependant, lui était un joueur. Courtois, qui plus est. Alors, il allait prendre son temps. Pour continuer de l’analyser, de la tester, de la charmer. D’autant plus qu’il avait remarqué que lui-même ne la rendait pas indifférente. Cela n’en était que davantage intéressant.

Encore une fois, Jun lâcha un détail sur sa vie privée, qui, en dehors des oreilles du métisse, aurait pu choquer. Alors comme ça, la belle aimait se laisser aller à ce genre de pratiques ? Décidément, elle était bien loin des autres peintres ou photographes coincés du cul que Yoan avait pu rencontrer auparavant. « J’aime beaucoup votre approche de l’art. Vous êtes singulière, comme vos toiles, et c’est troublant. Hypnotisant même. ». Il la fit frémir sous ses doigts. Parfait. Le piège se refermait de plus en plus autour d’elle, ce dont, à vrai dire, elle ne semblait pas se soucier. La laissant s’éventer, non sans un discret sourire de satisfaction, le créateur la regarda prendre place sur les marches, et l’écouta avec attention. La marquer suffisamment ? Ne serait-elle pas en train d’entrer dans son jeu, et d’à son tour, lui envoyer la balle ? « Serait-ce un défi que vous me lanceriez ? ». S’approchant de nouveau de Jun, il défit le bouton de sa veste, pour la retirer, lentement, tout en admirant son visage qui n’était que davantage magnifique sous les derniers rayons du soleil. « Disons que j’aime m’intéresser aux plus de domaines qui me soit possible. Et cela m’apporte beaucoup. Notamment, de faire des rencontres, comme celle de ce soir. ». Yoan s’accroupit devant sa cadette, tel un prince ou un chevalier, scène digne d’un drama. Et pour lui mettre sa veste sur les épaules, il se pencha vers elle, bien trop pour que celui ne soit qu’un geste de gentleman. Il huma un court instant son parfum, avant de lui souffler chaudement, sensuellement, dans le creux du cou. Ses lèvres effleurèrent l’oreille de la jeune femme alors qu’il se reculait, une fois le vêtement la couvrant. « Je me permet de tenter de vous réchauffer. ». Son regard ancré dans le sien, lui aussi joue sur les mots. Habilement. Son sourire carnassier et divinement beau au visage, il finit par prendre place à ses côtés, sur les marches. Mains derrière lui, posées, il laissa son visage s’incliner légèrement en arrière tandis qu’il fermait les yeux. Il faisait bon. Et le parfum de Jun parvenait à ses narines, comme un doux nectar. Sa peau digne d’une porcelaine luxueuse brillait quelque peu, et faisait davantage ressortir ses traits si particuliers. Yoan resta ainsi un moment, avant de reposer son regard sur la délicieuse créature se tenant auprès de lui. « Malheureusement, je n’ai qu’une veste. Alors, je crains que pour vos jambes, il faille opter pour une autre solution. Si jamais vous y avez froid, évidemment. ».
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Seo Jun
citoyen du monde
Seo Jun
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MessageSujet: Re: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyJeu 20 Juil - 11:36
you make me rrrrr

featuring. kang yoan
Oui très cher, c’est un défi que je vous lance. Défi que j’espère vous voir réussir. pensais-je. Mon art venait de gagner le nouveau statut « d’hypnotisant » ce qui m’allait très bien. Peut-être que ce chaebol – parce que je ne doutais pas qu’il en soit un, seconde génération peut-être – visiblement connu dans le milieu m’attirerait toujours plus de gens comme lui. Malheureusement, j’avais choisi de vendre mon art. C’est con, mais je ne me voyais pas faire autre chose. Le porno c’est épuisant ! Monsieur Diablement-Sexy reprenait le fil de la conversation et je fus un instant hypnotisée par ses mains. S’il y a un bien une chose qui me fait frémir chez un homme, ce sont bien ses mains. Et les siennes … Suffisamment grandes pour me tenir fermement. J’y voyais même quelques veines saillantes. Tout ça annonçait un programme fort alléchant. Un nouveau vent frais acheva de me faire frissonner. Je n’étais pas le genre frileuse, mais rester immobile ne m’aider pas à me réchauffer. Mais c’était sans compter sur la prévenance de mon interlocuteur. Le souffle coupé, je le laissais passer ses bras autour de moi pour déposer sa veste sur mes épaules. Elle était encore chaude, emprunte de son odeur. Je dégageais légèrement ma nuque pour le laisser me murmurer à l’oreille ce que je devinais être lourd de sous-entendus. Son souffle me fit tressaillir mais loin d’être une fille réservée et timide, je ne bougeais pas d’un millimètre. « Permettez-vous.» Le fin espace entre nos lèvres devenait électrique. Tout mon corps brûlait de me jeter dans ses bras. Mais je restais obstinément assise. Non par pudeur ou par ce stupide précepte que les hommes doivent faire le premier pas. Mais parce que j’étais intrigué par ce jeu qu’il instaurait. J’y notais les règles, tout devait se jouer de manière subtile, distinguée. Des choses sur lesquelles je n’étais franchement pas habituée. Je calquais ses mouvements, le laisser prendre des initiatives. C’était amusant, mais très frustrant à la fois. Il était là, assis à côté de moi. Je n’avais qu’à me pencher sur sa nuque et y déposer mes lèvres pour goûter sa peau. Habituellement, l’un de nous aurait déjà eu des mains bien plus baladeuses. Décroisant et recroisant mes jambes, je souris à nouveau. « Une idée peut être ? » J’en avais des dizaines ! Mon esprit écrivait déjà des scénarios. Je devenais en une fraction de seconde la meilleure script de tout le pays.

Ma robe glissa un peu plus, je repositionnais la veste sur mes épaules. La nuit prenait dangereusement le pas, assombrissant tout ce qui nous entourait. J’avais l’impression de devenir un chat sauvage, se cachant dans la nuit, prête à attaquer. Mes yeux brillaient lorsque je les posais sur lui. Son costume épousait son corps à merveille, le dessinant presque. Sa chemise blanche l’éclairait et contrastait avec la dureté de ses cheveux sombre. Quelque chose s’était posé dessus et je saisis l’occasion pour approcher ma main. Veillant à ne pas le décoiffer – certains hommes détestent ça, incroyable non ? – je retirais l’importun. « Le temps risque de se rafraichir encore plus. N’avez-vous pas froid ? »

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MessageSujet: Re: (18+) you make me rrrrrr    (18+) you make me rrrrrr  EmptyJeu 20 Juil - 12:48
you make me rrrrr

featuring. seo jun
tenue + Il mourrait d’envier de glisser ses mains sur cette peau si douce, de planter ses dents dans cette chaire alléchante, d’entendre sa voix couiner sous ses actes. Yoan prenait son mal en patience. Cela devenait de plus en plus difficile, mais il savait pertinemment que ça en vaudrait la peine. Cette jeune femme qui entrait davantage dans son jeu de séduction au fil des minutes lui offrait une perspective d’un instant charnel des plus prometteurs. Celle-ci, dont les épaules et le dos étaient désormais couverts de sa veste, manqua de lui arracher un rire. Une idée pour la réchauffer ? Mais il en avait beaucoup trop en tête. Plus ou moins sages, d’ailleurs. Son regard toujours dans le sien, son sourire de prédateur au visage, il garda cette voix suave qui lui était propre, pour y répondre d’un simple mais efficace : « Bien plus que vous ne pourriez y penser. ». Il la laissa observer son corps, pas le moins gêné ou pudique du monde. Yoan avait confiance en lui. Il savait qu’il plaisait. Il était grand, la taille fine, les muscles bien marqués. Cela plaisait aux femmes -et aux hommes-, il l’avait comprit depuis bien longtemps déjà. Gardant le silence, il soupira discrètement d’aise lorsque Jun entreprit de lui retirer quelque chose de ses cheveux bien coiffés. Son parfum était enivrant. « Et si nous allions tenter de nous réchauffer dans la tonnelle plus loin ? ». En effet, à quelques mètres d’eux, se tenait une grande tonnelle blanche, fermée. Avec possiblement du mobilier à l’intérieur. Coupés du vent, loin des invités, un endroit imite qui promettait bien des choses.

Se levant donc des marches, Yoan tendit de façon galante sa main envers sa belle. Ils n’y voyaient plus grand-chose, et hors de question qu’elle se foule une cheville ! Une fois celle-ci debout à ses côtés, ils s’y rendirent donc, en bien moins de temps qu’ils ne l’auraient cru. Lui ouvrant pour qu’elle y pénètre en première, le métisse fut soulager de constater que la lumière des éclairages du jardin et de la lune leur permettaient d’y voir à l’intérieur. Sauf qu’il avait décidé de tout autre chose pour Jun. En effet, le temps qu’elle regarde le lieu, lui avait retirer sa cravate. Se rapprochant d’elle, pour ne s’arrêter qu’à quelques maigres centimètres de son dos, le créateur glissa le tissu délicatement sur les yeux de la coréenne, lui murmurant à l’oreille de sa voix grave : « Vous me faites confiance, n’est-ce pas ? ». Une fois la cravate nouée à l’arrière de la tête de la jeune femme, Yoan retira sa veste et la plia a son bras. Puis, il s’accroupit de nouveau, et lui retira ses chaussures, lentement. « Offrez-moi deux petites minutes. ». Il lui baisa le pied gauche avant de le reposer une fois nu au sol, et partit poser sa veste sur une des tables présentes. Toujours soucieux du confort de sa cadette. Puis, il revint à Jun, sans un mot. Il s’arrêta non loin d’elle, juste assez pour qu’elle sente sa présence et son souffle, sans pour autant être collés. Du bout de ses doigts, il longea ses bras, toujours avec cette lenteur presque interdite. Se penchant vers elle, son nez effleurait sa joue, tandis que ses mains se retrouvaient à sa taille, glissant jusqu’à ses cuisses. Il passa sous la robe satinée, pour agripper le derrière de ses cuisses. Et, habilement, il souleva celle aux yeux bandés, aisément, pour la porter jusqu’à la fameuse table, et l’y faire s’asseoir. Yoan resta néanmoins entre ses cuisses, leurs bassins non pour autant en contact. « Je n’ai jamais été très doué pour défaire les boutons de chemise. M’offririez-vous votre aide ? ».
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