| | I fake everything but my love for you. | |
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Noh Dae Won Innocent Heartbreaker vas-y clic tu verras la vierge baby ✦ LET ME TAKE A SELFIE ✧ : ❖ âge & études : 24 ans ❖ métier : Boulanger pâtissier & Bassiste de folie ❖ my life be like : Terriblement sociable Oblivious af Généreux Naïf comme un lapin Energique Maladroit Amusant Désinvolte Courageux Puéril Ardemment passionné Impatient Optimiste Trop facilement distrait
Le gamin souffre d'un asthme franchement envahissant lui empêchant la pratique de tous les sports, sauf le yoga. Il doit d'ailleurs passer une fois par mois à l'hôpital pour surveiller l'évolution de son cas et ne sort pas sans sa ventoline. Il a longtemps souhaité devenir policier, coincer les malfrats et démanteler des réseaux illégaux lui apparaissant comme la classe ultime. Malheureusement, son asthme a fait de ce choix de carrière un rêve d'enfant. Ses parents lui ont payé des cours de guitare quand il était enfant, mais il se distrayait trop facilement, son professeur se plaignant souvent de lui. Il a donc opté pour l'apprentissage en autodidacte de la basse et ça lui a plutôt réussi! Il n'a pas de capacité émotionnelle amoureusement parlant, il n'a jamais rencontré qui que ce soit qui éveille en lui le moindre désir et n'arrive donc pas à identifier le sentiment d'amour. Cependant, il a une très haute estime de ces relations qui poussent les gens dans des extrêmes inexplicable. Qui sait, l'âme soeur court peut être quelque part? Ah et, du coup, oui, il est puceau. Sa famille tient la boulangerie depuis trois génération, sa grand mère étant française, l'établissement a gagné en popularité grâce à son savoir faire. Il a un peu la pression d'être la troisième génération et même s'il n'aspire pas à devenir le plus grand boulanger de tous les temps, il apprécie ce travail familial. Il se teint les cheveux fréquemment, ce qui explique que certains l'appellent rainbow hair. Il ne trouve aucune explication à cela, mais aime la simple idée de voir une personne un petit peu différente dans le miroir chaque matin! Son incapacité amoureuse le force à semer les coeurs brisés. Malgré lui, son comportement force à l'affection, à l'attirance, sur scène même il parvient à être stupidement sexy et cela lui attire l'attention de nombre d'hommes et de femmes. Les sentiments n'étant jamais réciproques, il se voit contraint de briser des coeurs. Outre le fait que la boulangerie familiale soit populaire pour son savoir faire français venant de sa grand mère, il faut dire que le fait que Daewon participe à la vente et à la conception des produits est pour pas mal dans ce succès, surtout auprès de la jeune génération. Il est l'innocence même, ne comprend aucun sous entendu sexuel et ce fait participe tant à sa popularité qu'à son impopularité. Il s'incrusterait parfois dans les amphis des cours magistraux de musique, prenant des notes à la sauvette au fond de la classe, se sauvant dès que la leçon prend fin, comme un véritable petit voleur.
FREE to rp. ✧ SAY CHEESECAKE ✦ : ❖ messages : 26 ✧ rich bitch like : 180 | Sujet: I fake everything but my love for you. Mer 20 Sep - 16:56 | | |
Ses paupières sont encore lourdes de sommeil, ses pieds glissent contre le sol et un frisson remonte le haut de son corps, lui faisant secouer les épaules tandis qu'il lutte contre l'appel des couvertures, son regard voyage jusqu'au téléphone posé sur sa table de nuit qui sonne encore pour s'assurer son réveil, et sous les chiffres agaçant qui lui donnaient l'heure, il remarque la date. Et c'est tout ce qu'il lui faut : en une paire de secondes, il est hors du lit, filant vers la salle de bains pour ne douche rapide, parce qu'aujourd'hui n'est pas un jour de travail, aujourd'hui, il ne va pas devoir conduire sur les routes de campagne et se perdre dans le fin fond du pays, il ne va pas devoir courir dans l'atelier pour remplir les étagères de pains tout frais, il ne sera pas forcé de sourire à cette vieille chouette dont la baguette est toujours trop cuite ou pas assez croquante, non. Non, aujourd'hui, il est en repos et pour couronner le tout, il a déjà trouvé sa victime de la journée, qui avait volontiers accepté de l'accompagner dans une virée shopping, parce que la paie était tombée, que son dernier jean potable manquait de le lâcher et qu'il n'aurait pas trop d'un jeu de cordes en rab pour Sea, sa pauvre petite basse qui tenait si bien le coup jusque là. En quelques minutes, il est déjà dans sa voiture, carcasse tremblotante et pétaradante le long des rues de la capitale, et il se moque complètement des regards qu'il est habitué à sentir sur son passage, fenêtre ouverte pour laisser passer un peu d'air laisse profiter aux passants l'une des dernières créations d'un groupe indie inconnu de tous sauf bien sûr du blondinet qui chantait à tue tête. Finalement, sans demander son reste, la petite voiture vient se garer sur le parking du centre commercial, laissant sortir un petit blond au pas léger, une veste en jean drapée sur ses épaules tandis qu'il souffle d'aise. Son regard parcoure le parking au cas où il apercevrait la tignasse blonde de son petit Milo, mais fait la moue en se rendant compte qu'il est sans doute encore le dernier arrivé. En arrivant devant le centre, il reconnaît immédiatement son binoclard préféré et se met à courir pour lui sauter sur le dos, s'accrochant fermement à ses épaules en riant à gorge déployée, collant sa joue contre celle de son précieux ami. Milo avait été là pour lui depuis qu'ils s'étaient rencontrés et il ne pouvait nier qu'il portait au petit blond une affection particulière, comme s'ils étaient frères. « Milo !! T'es toujours en avance et toujours plus présentable que moi, je comprends pas ! » Il descend de son perchoir pour lui décerner un de ses sourires signature, clairement ravi de se retrouver là avec lui.
featuring. Seo Milo gabi le loup |
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les cordes qui tremblent sous des doigts dodus et maladroits, la vibration de la guitare en rythme avec les battements de coeur. du haut de ses 13 ans, avec une guitare plus grand que son propre corps, encore en pleine croissance, milo apprenait la mélodie du bonheur. quelques notes, différents sons sur le même instrument. comprendre que le bonheur était à portée de mains, qu’il était même possible de l’avoir dans ses mains, ça a été le déclic pour son âme d’artiste. quelques mois et des feuilles remplies de partitions éparpillées dans sa chambre plus tard, et le petit savait déjà jouer des mélodies complexes d’artistes à la renommée prouvée. des classiques de Beethoven jusqu’aux musiques les plus modernes dans son pays, sa guitare a avalée chaque morceau avidement, tout comme son esprit affamé par la beauté des sons de l’instrument cris d’un nouveau-né et naissance très attendue au pays du matin calme. petit milo rendit le monde un peu plus joyeux dans les temps suivant sa naissance, égayant le triste quotidien de ses géniteurs par ses sourires auxquels il manquait des dents, et des repas recrachés lorsqu’il était soulevé dans les airs. puis la famille des seo s’est envolée pour un pays qui les aiderait peut-être à passer cette passe difficile dans laquelle ils étaient coincés, choisissant le canada, ce pays ou il fait bon vivre. un paradis matériel de courte durée, ni les wapitis ni le kucumbor n’a pu sauver le foyer. 2007, date fatidique pour l’enfant unique, qui décida à contre-cœur de suivre son paternel emménageant en Corée si on se demande si les fées possèdent des queues, c’est plus pour ses doigts de fée que l’on chasse le garçon. dans un tiroir de sa chambre s’accumule les cartes des nombreuses et diverses compagnies musicales qui l’ont contactés, dans l’espoir de lui faire rejoindre leur agence et de profiter de son talent pour en tirer du profit. obtenir des billets verts qui sentent le vieux livre en échange d’une bande musicale d’amis, un sacrifice qui ne fait clairement pas le poids aux yeux du guitariste. refus après refus, sourire après sourire, il laisse en attente chacune de ces compagnies, incapable de penser à un avenir qui lui coûterait sa place d’artiste au sein de la bande. peut-être incapable de penser à un futur sans le bassiste qui a croqué un bout de son cœur et ne l’a jamais recraché, jamais avalé non plus ces quelques années passées au canada ont déliées sa langue, fait travailler ses cordes vocales, lui permettant de développer un anglais à la prononciation presque parfaite, et un vocabulaire enrichi. s’y sont ajoutés tout naturellement le coréen, langue de son pays natal, ainsi que l’espagnol, langue qu’il affectionne tout particulièrement pour sa fluidité et sa tendresse avec les mots. films et scènes de théâtres en version original sans sous-titres, conversations profondes et longues avec les étudiants étrangers sur le campus, tout est bon pour approfondir son savoir, aussi bien en langues qu’en littérature. maître Shakespeare, capitaine du bateau que représente sa petite tête, lui glisse toujours à l’oreille quelques citations qui conviennent aux situations qui se présente à lui. “Doubt thou the stars are fire, Doubt that the sun doth move, Doubt truth to be a liar, But never doubt I love.” une version grise et floue du monde, sans aucune fenêtre propre pour observer à travers clairement le monde extérieur. toujours une paire de lunette posée sur le bord de son nez, le garçon est incapable de se débrouiller sans sa paire de yeux supplémentaires au quotidien. du rouge jusqu’au marron, les couleurs des branches sont la seule chose qui change, les verres gardant toujours la même taille presque grotesque. une fois, il a essayé d’utiliser des lentilles, surement à cause de l’envie ressentie en apercevant le prisme bleu qu’elles développent sur le mannequin d’essai. un quart d’heure plus tard, les larmes aux yeux et des vaisseaux sanguins éclatés, ce fut le pire fiasco qu’il ait jamais pu tenter. résigné au destin des lunettes, il a depuis appris à les apprécier sur son visage de bloody mary à l’étrange mythe du fantôme des toilettes du troisième, le registre des bizarreries qui font battre son cœur au galop pourrait s’apprécier sur un parchemin de plusieurs mètres déroulé. que ce soit bébé à quatre pattes piquant une crise de pleurs après avoir reçu un coup de museau baveux d’un chien ou jeune adulte se découvrant une sueur froide après avoir entendu le mythe d’une école hantée, milo restera terrifié de tout et de rien, mais de surtout ce qui touche au domaine du surnaturel. ce qui l’effraie à peu près autant que les fantômes, ce sont ses responsabilités, qu’il fuie comme la peste au canada, ce n’est ni les boissons et plats de la région qui l’ont ravis, mais plus cette planche qui s'accroche aux pieds pour glisser sur la neige. le snowboard, une de ses grandes passions à l’époque, derrière sa guitare favorite et la musique mais très proche quand même. la sensation du vent contre son visage, la vitesse qui démarre l’adrénaline au fur et à mesure, le froid ambiant. il y a quelque chose de libérateur dans ce sport que lui-même ne saurait expliquer, si ce n’est que comme la musique, il fait battre son cœur. pour pratiquer et s’entraîner, il profite des quelques vacances qu’il peut passer chez sa mère, au canada, pour se rendre aux stations de snowboard.
✧ SAY CHEESECAKE ✦ : ❖ messages : 15 ✧ rich bitch like : 76 | Sujet: Re: I fake everything but my love for you. Sam 23 Sep - 18:17 | | |
derrière les grandes lunettes qui dissimulent d'aussi grands yeux noisettes, il observe les nuages blancs qui coulent hors de sa bouche comme il l'ouvre pour soupirer pour ce qui doit être la troisième fois depuis le début de la journée. malgré le pull doux qu'il portait sur les épaules aujourd'hui, rien ne semblait lutter contre le temps relativement frisquet qu'il faisait. et pourtant, le ciel était bleu et dégagé de tout nuages gris, mais le soleil semblait déterminé à se dissimuler. ce n'est pas si grave, après tout, le soleil personnel de milo ne devrait pas tarder à se montrer et à l'irradier de bonne humeur, ainsi que de cette chaleur qui se répandait toujours dans tout son corps à chaque fois qu'il était en présence du blond. un sourire étire ses lèvres sans qu'il ne s'en rende compte, rien qu'en pensant à celui qu'il accompagnait aujourd'hui pour faire un peu de shopping. rien n'égalait quelques heures, même une pauvre seconde passée en sa compagnie pour le guitariste, qui était capable d'envoyer en l'air ses plans pour accepter de rencontrer son ami. heureusement, il n'avait rien de prévu pour aujourd'hui, si ce n'est quelques tutorats par-ci par-là à distribuer à la faculté, qu'il s'était empressé de déplacer avec l'accord de ceux qui les lui avait demandé. et même s'ils n'étaient pas d'accord, milo leur aurait dit que c'était vraiment urgent et que ça ne pouvait pas attendre. il n'est pas enclin aux mensonges, mais aux grands maux les grands moyens, comme on dit dans le milieu. au milieu de la foule, il a l'impression d'être nu et vulnérable, parce qu'il n''y a pas le balancement familier de la hanse de sa guitare contre son dos. son bébé était toujours d'un grand réconfort, lorsqu'il ne se sentait pas à l'aise ou qu'il ne savait pas quoi faire de ses dix doigts. ce qui était le cas actuellement, parce que comme d'habitude, milo s'était levé bien trop tôt pour se préparer bien trop tôt à se rendre au lieu de rendez-vous. être ponctuel est une chose, être un véritable angoissé de la vie en est une autre. et pourtant, il ne se considère pas stressé de nature, peut-être juste anxieux quand à l'idée de se retrouver seul avec son ami. qui n'était pas tant son ami, mais plus quelque chose comme un ami avec des bénéfices. et encore, leur relation était bien trop particulière pour se voir aduler d'un tel titre. enfin, aux yeux du guitariste. il n'avait aucune idée de ce que son ami en pensait, et il ne le saurait probablement jamais, vu comment ce dernier est dense. occupé à trépigner devant le centre commercial, en vérifiant la montre à son poignet et quelques-fois son téléphone pour vérifier que le blond ne lui avait pas envoyé de message pour prévenir d'un quelconque retard ou annulation du rendez-vous, milo n'entend pas les pas lourds derrière lui. il n'a pas le temps de dire ouf que des bras s'enroulent déjà autour de ses épaules, comme quelqu'un lui saute dessus de tout leur poids. mais le guitariste ne s'offusque pas, parce qu'il pourrait reconnaître entre mille le rire qui éclate dans ses oreilles, et qui rend son sourire plus large encore, accueillant volontiers le contact chaud de la joue qui se colle à la sienne. « si c'est moi qui suis en avance ou toi pile à l'heure, on ne le saura jamais ! » s'exclame-t-il en rejoignant son rire, dévoilant ses dents et faisant trembler ses lunettes par la même occasion. à la remarque du bassiste, milo ne peut pas s'empêcher de laisser son regard descendre sur le corps de ce dernier, qui contrairement à ce qu'il essaie de faire croire, est habillé parfaitement bien. et encore, il ne dévoile pas le fond de sa pensée, car entre ce jean qui épousait parfaitement bien les formes de son corps et cette veste en jean qui s'alliait tellement bien avec ses cheveux blonds, il était littéralement à tomber. et il ne devait pas être le seul à le penser. presque immédiatement, une flamme de jalousie apparaissant déjà dans sa poitrine, comme d'habitude lorsqu'il retrouvait le blond à l'extérieur, milo attrape le bras de dae won pour commencer à marcher en direction du centre commercial, pressant son bras contre sa poitrine par la même occasion. « et arrête ça, tu ressemble au bassiste de mes- de leurs rêves. » il explique en pointant du menton les filles qui passent à coté d'eux, et qui bien sûr, ne se gênent pas pour examiner dae won sous toutes les coutures. milo ne peut pas les blâmer, pas quand lui aussi pourrait croquer le bassiste comme un morceau de son chocolat préféré. il espère que dae won n'a pas entendu sa gourde. de toute façon, même s'il l'avait entendu, il serait trop perdu pour comprendre ce que milo voulait dire. pour une fois, c'est un avantage.
featuring. Seo Milo gabi le loup |
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